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Dites-lui que je l'aime

Autain Clémentine
Affiner le résultat de recherche avec le type de document livres Afficher tous les documents ayant la date d'édition : , commele document Dites-lui que je l'aime 2019Nombre d'avis des professionnels sur le document Dites-lui que je l'aime.1 avis pro.Note moyenne des avis des professionnels sur le document Dites-lui que je l'aime.Nombre d'avis des abonnés sur le document Dites-lui que je l'aime.1 avis abonnéNote moyenne des avis des abonnés sur le document Dites-lui que je l'aime.Rechercher tous les documents ayant comme Sujet: Laffin : DominiqueRechercher tous les documents ayant comme Sujet: Autain : Clémentine : Enfance et jeunesseRechercher tous les documents ayant comme Genre: BIOGRAPHIE-TEMOIGNAGE

« L'autre jour, ma fille m'a demandé si on pourrait te voir quand tu ne seras plus morte. Elle est encore petite, tu sais, alors elle a insisté - et pourquoi ton cœur s'est arrêté, et pourquoi tu es morte dans ta salle de bain... Mourir à 33 ans, elle …

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Description

Titre(s)
Dites-lui que je l'aime
Auteur(s)
Clémentine Autain (Auteur)
Collation
157 p. ; 21 cm
Année
2019
Sujet(s)
Laffin : DominiqueAutain : Clémentine : Enfance et jeunesse
Livres et Vidéos
Relations familiales
Genre
BIOGRAPHIE-TEMOIGNAGE
Identifiant
2-246-81395-6
Langue(s)
français
Résumé
« L'autre jour, ma fille m'a demandé si on pourrait te voir quand tu ne seras plus morte. Elle est encore petite, tu sais, alors elle a insisté - et pourquoi ton cœur s'est arrêté, et pourquoi tu es morte dans ta salle de bain... Mourir à 33 ans, elle ne comprend pas, et elle a peut-être senti dans ma réponse mon aversion à parler de toi, à penser à toi. J'avais tout emmuré mais te revoilà sans cesse... » Il aura fallu trente ans pour que Clémentine Autain écrive sur sa mère, la comédienne Dominique Laffin, morte en 1985. Clémentine en avait 12 et déjà un long et douloureux chemin avec cette mère en souffrance, égarée, incapable de prendre soin de sa fille. Clémentine Autain s'est construite en fermant la porte aux souvenirs, en opposition avec cette mère dont, petite fille, elle avait parfois dû s'occuper comme d'un enfant. Aujourd'hui, elle n'occulte rien, dit avec justesse le parcours tragique d'une femme radieuse et brûlée, passionnée de vie, actrice magistrale, féministe engagée mais dévorée par ses angoisses et prise au piège d'une liberté dangereuse.Dites-lui que je l'aime : dans ce récit poignant dont le titre rappelle le film éponyme, Clémentine Autain rend justice à une figure oubliée des uns, culte pour les autres. Elle retrouve ce qu'elle lui doit, son féminisme, sa propre maternité peut-être. Et malgré l'âpreté des souvenirs, elle écrit un récit d'une grande douceur, une lumineuse lettre d'amour.
Prix
16 EUR
Editeur(s)
Grasset
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Avis

Des professionnels

Par Médiathèque de Yerres
le 23 juin 2020
Mater dolorosa
Voilà une lecture profondément émouvante et dérangeante. Clémentine Autain a perdu sa mère, l'actrice Dominique Laffin, à l'âge de 12 ans. Une mère qui n'a pas su ou qui n'a pas pu l'élever et qui a laissé une enfant seule et profondément meurtrie. Pendant des années Clémentine préfère se fermer à toute évocation et tout souvenir. Devenue mère à son tour, elle se lance aujourd'hui à la quête de l'absente : une actrice que l'on découvre entière, féministe, engagée, dévorée par la vie. Certes les premiers chapitres sont lourds d'une certaine rancoeur (elle parle même de "haine") mais le ton s'apaise peu à peu, pour laisser place à une belle lettre d'amour . Il faudra toutefois attendre le dernier chapitre, la dernière page, la dernière ligne, pour trouver ces deux derniers mots : "ma maman".

Des lecteurs

Par Valérie
le 13 avril 2019
Mater dolorosa
Voilà une lecture profondément émouvante et dérangeante. Clémentine Autain a perdu sa mère, l'actrice Dominique Laffin, à l'âge de 12 ans. Une mère qui n'a pas su ou qui n'a pas pu l'élever et qui a laissé une enfant seule et profondément meurtrie. Pendant des années Clémentine préfère se fermer à toute évocation et tout souvenir. Devenue mère à son tour, elle se lance aujourd'hui à la quête de l'absente : une actrice que l'on découvre entière, féministe, engagée, dévorée par la vie. Certes les premiers chapitres sont lourds d'une certaine rancoeur (elle parle même de "haine") mais le ton s'apaise peu à peu, pour laisser place à une belle lettre d'amour . Il faudra toutefois attendre le dernier chapitre, la dernière page, la dernière ligne, pour trouver ces deux derniers mots : "ma maman".
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Auteur principal : Autain Clémentine

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